En 1986, la Rigole est à sec, abandonnée, nous allons passer son lit au détecteur. Nous retrouvons, planté dans le fond pourtant dur comme du béton un gros morceau du longeron d’aile et une foultitude de morceaux de l’avion. M. Iréné PLANCHAT d’Aigny nous offre la lampe torche de l’équipage qu’il utilise régulièrement et M. Claude CHAMELOT nous offre la hache de désincarcération qu’il utilise pour couper les fils de fer serrant les grosses balles de paille. Une chevalière aussi est gardée précieusement.
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